Les droits des passagers aériens sont encore à la une aux Pays-Bas. Aujourd’hui, le médiateur s’est prononcé que les passagers aériens ont souvent du mal à obtenir l’indemnisation à laquelle ils ont le droit après un vol retardé ou annulé. Direction générale de l'aviation civile (DGAC) faudrait les aider, mais elle n’agit pas assez fort. Le médiateur l’a mentionné au Parlement. Il faut qu’il soit facile pour les passagers aériens d’avoir l’indemnisation à laquelle ils ont le droit.

Réclamer l’argent en cas d’un retard reste difficile Depuis 2004, dans une loi de la Cour Européenne, il est capturé que les passagers aériens ont droit à une indemnisation après un retard de plus de 3 heures. Les indemnisation peuvent monter jusqu’à 600€. Vraiment avoir les indemnisations n’est pas chose simple. Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l’organisation qui doit maintenir les lois, ne s’occupe pas assez selon le médiateur en réponse des chiffres de 2010 et 2011. Dans la plupart des cas, les passagers aériens n’ont rien réçu.

Selon le médiateur, les procédures que les passagers aériens doivent poursuivre, est trop prolixe. Il ne leur faut pas seulement porter plainte à la compagnie aérienne, mais aussi à la Direction générale de l'aviation civile (DGAC). Si cela ne suffit pas, ils doivent entamer un procès judiciaire. « Environ 95% des réclamations des passagers sont directement rejetées, parce que les passagers ne connaissent pas toujours leurs droits et les réclamations sont balayées d'un revers de main par les compagnies aériennes en raison d'un manque de données », déclare Tom van Bokhoven, co-fondateur de Vol-retardé, une entreprise spécialisée à aider les passagers.

Direction générale de l'aviation civile

La direction générale de l'aviation civile (DGAC) a beaucoup de possibilités d’exercer pression sur les compagnies aériennes, elle peut même donner des amendes. Pourtant, elle n’agit pas suffisamment, ce qui est une situation indésirable.